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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 23:45
cadeau : code pour déchiffrer l'arcan bols et cailloux les cailloux

pour le plaisir - les cailloux

« Poème écrit en rêve » – écriture 'curviforme'

Claude Roy – Le voleur de poèmes, Chine – Mercure de France, 1991

les bols

pour le plaisir – les bols

_

au
fil d'une
exposition

Boules et Bols, exposition Florence Lemonnier et Christina Guwang à Ainay le Vieil les 8 et 9 décembre 2007

1
en ce
moment
vous êtes  000...
Ceci n'est pas un blog…

C'est une histoire avec un début et une fin.
C'est l'histoire d'une expo en sept chapîtres.
C'est un Tout. Mais courage, ce n'est pas long.

En bas de ces chapîtres, un sommaire, et pour ne pas vous
fatiguer à viser juste, la vignette mène à la page suivante.

Promenez-vous avec la souris sur les images et les liens, il y a
des précisions en infobulle derrière, mais faut pas être pressé…
Sous Firefox les phrases un peu plus longues seront tronquées
et les frustrés ou trop curieux peuvent aller les voir en entier
avec Internet Explorer 8 ou 7 et du coup admirer l'ascenseur…

Et si par malheur vous avez désactivé les images d'arrière-plan, vous ne verrez pas
les titres des chapîtres et aurez un fond noir partout où j'ai mis de la jolie tapisserie.


Et à part ça, si vous voulez traîner, il y a une page de liens,
une pour annoncer les expos, une page d'infos, et puis des
pages cachées (rien à voir) si vous trouvez ma liste des articles...

Et une dernière où vous pouvez me laisser des mots doux
et vous y trouverez aussi un mode d'emploi et une playlist.

Et c'est tout.


Euhh…  j'ai fini par ajouter deux pages avec de nouveaux bols

Euhh… et une avec une triste nouvelle
et pour vous consoler, un petit cadeau

_

Voilà, aujourd'hui cela fait deux ans depuis l'incendie de l'atelier

La reconstruction se termine doucement – finitions qui n'en finissent pas de finir (et dégât des eaux, merci Joachim) – la crémaillère est remise aux beaux jours… Ce n'est plus le vieil atelier que j'aimais, mais de l'avoir conçu et mis la main à la pâte (et aussi le temps que cela a pris…) m'ont permis de digérer le coup.
Désolée, je n'ai pas eu/pris le temps de vous faire des comptes rendus pendant les travaux (au four et au moulin…). En attendant, voici juste quelques images du change­ment majeur : les murs chauffants (c'est le pied !).
Merci à Rémi et Joseph pour le plancher en merrains (2,5 t de chêne), à Antoine et à Jean-Luc Mauduit pour leurs innombrables coups de mains (et de machines), et toute ma reconnaissance à l'entrepreneur Robert Pouget pour son aide et son infinie patience, sans lui je serais fichue…

19 décembre 2011

Christina Guwang, premier bol 2012

Décembre 2012 – Premier bol après trois ans, décoré à l'arrache… Bonne Année à tous

voeux 2014

_

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 10:33
7e en fête, Esplanade des Invalides, Paris
Art contemporain & Céramique du 16 au 19 octobre

bol biais rouge et noir

Cliquez pour voir la liste des exposants 

Art Contemporain et Céramique au Village d'Automne, Esplanade des Invalides, Paris 7e – du 16 au 19 ocTobre 2014 (jeudi de 14h à 20h; vendredi 11h-22h, samedi et dimanche 11h-20h

Cliquez pour voir la liste des exposants 

plan village d'automne, esplanade des invalides

Métro : Invalides, Lignes 8 et 13
RER: Invalides, Ligne C
Bus: Lignes 28, 63, 69, 83, 93

bol fleurs gravées

bol à la feuille de tremble

détail bol fleurs

Vous me trouverez sur le stand C6 où vous pourrez en prime découvrir les peintures et photobricolages de C. Agathe Durand, une vieille amie des Arts déco :

peinture marine (photobidouillage)

Je vous épargne ici ses flashies rose tyrien… mais je crains le pire quand elle m'écrit : « Ça t'apprendra à inviter une punk ! Pour ton annonce blog, je te fais confiance (vas-y démonte-moi !!!) » …aïe, aïe, pitié !

... passées
Exposition de Céramiques Contemporaines du 25 octobre au 4 novembre 2013 de 15h à 19h : Gisèle Buthod-Garçon, Philippe Dubuc, Christina Guwang, Agathe Larpent, Marie-Laure Lévitan, Daniela Schlagenhauf bol herbes, noir sur blanc

En survolant l'image, vous pourrez voir le bol en entier

bol paysage, arbres, noir sur blanc

Et cliquez sur celui-ci pour voir d'autres bols de l'expo

Pardon à ses concepteurs, j'ai dû un peu adapter l'affiche à l'environnement mais sur leur site ils ont bien trouvé moyen de saucissonner mon bol - alors on est quittes Pour voir l'affiche originale cliquez sur l'image, et pour le site sur le titre   
Pour mieux lire les passages en noir, mettez la souris dessus !

Porcelaines

En apéro d'Argilla 2009, quelques bols du dernier four

bol porcelaine grain de riz bol porcelaine champs bol porcelaine herbes

Et voici ce que ça donne quand je m'énerve un peu :

bol porcelaine fleurs bol porcelaine fleurs

Pour afficher la suite, cliquez ici

Bol porcelaine, St Sulpice 2008

bol porcelaine

<<  Bols 2008-2009 Bols 2009  >>

Journées Européennes des Métiers d'Art
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 03:12

En survolant les images avec la souris, vous en avez deux pour le prix d'une

lignes verticales, noir sur blanc
sauf si votre connexion ne passe que par intermittence quand elle veut bien
…là il faudra vous armer de patience – ou mieux, revenir un peu plus tard… lignes verticales, blanches dans noir

bol hérisson, picots blanc sur blanc points noirs sur blanc

poème-paysage blanc : Pensées au hasard notées en été poème-paysage blanc : Pensées au hasard notées en été

poème-paysage noir : Instants au bord du lac poème-paysage noir : Instants au bord du lac

buissons, paysage noir sur blanc buissons, paysage noir sur blanc

buissons, paysage noir sur blanc buissons, paysage noir sur blanc

arbres, paysage noir sur blanc arbres, paysage noir sur blanc

arbres, paysage noir sur blanc arbres, paysage noir sur blanc

herbes, prairie fleurie noir sur blanc herbes, prairie fleurie noir sur blanc

herbes, prairie fleurie noir sur blanc herbes, prairie fleurie noir sur blanc

paysage collines, clair paysage collines, clair

paysage tourmenté, noir et blanc paysage tourmenté, noir et blanc

paysage graffiti paysage graffiti

herbes et grandes fleurs herbes et grandes fleurs

herbes et grandes fleurs herbes et grandes fleurs

fleurs-plumes, grandes, noir et gris sur blanc fleurs-plumes, grandes, noir et gris sur blanc

fleurs-plumes, petites, denses - noires, grises, blanches et rouges fleurs-plumes, petites, denses - noires, grises, blanches et rouges

fleurs-plumes, noir sur blanc fleurs-plumes, noir sur blanc

fleurs-plumes, noir sur blanc - positf-négatif fleurs-plumes, noir sur blanc

fleurs-plumes, noir sur blanc fleurs-plumes, noir sur blanc

intérieur faon, tâche noire sur blanc extérieur, vue de dessous

fragile… bol noir s'épluchant
bol s'épluchant Non, non, celui-ci n'était pas à l'expo… il n'aurait pas survévu au voyage :(

Porcelaines  >> <<  Bols 2009

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 19:45

<<  Bols  2008-2009

bol roches, noir et blanc bol roches, en rouge bol collines champêtres bol biais noir bol rouge et noir bol noir, lignes rouges

Cliquez sur l'image, elle s'ouvrira plus grande dans une popup, idem pour celles plus bas

bol noir, ligne blanche bol noir, lignes blanches - le même vu de dos bol, le plus dur qu'il n'y paraît, blanc bol trois ou quatre lignes bol quatre lignes, noires sur rouge, rouges sur noir  bol trois ronds dans l'eau, quatre vues bol damier noir et blanc sans pied bol dessin de téléphone noir et blanc

Merci à mon amie Chantal pour les photos, je n'aurais pas pu m'en occuper au moment !

<<  Bols 2008-2009

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 00:13

Et voilà… près de deux années se sont écoulées depuis l'expo d'Ainay…
j'ai fini par céder aux sirènes du blog et j'ai actualisé un peu les bols…

The bol II bol sauvage, fleurs bol fleurs, deux autres faces

Cliquez sur l'image, elle s'ouvrira plus grande dans une popup, idem pour celles plus bas

le même, encore deux vues bol éruption et coulées de lave deux autres vues du bol volcanique bol oiseaux bol points noirs sur blanc deux bols damiers – noir et rouge, noir et blanc bol pierrot lunaire bol sourire rouge et noir bol argilla, deux autres vues bol courbes rouge et noir bol poire tête-bêche bol oursin noir

Bols 2009  >>

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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 23:27

Un p'tit mot

Par pitié, surtout ne mettez pas le zoom, parce que ce blog n'est pas élastique et là, catastrophe, plus rien n'est en place... (et j'vous dis pas, les versions traduites... c'est encore bien pire : non content de disloquer toute la mise en page, ça raconte vraiment n'importe quoi ! ... encore un truc qu'il faudrait faire, mais ce sera pour un autre jour...). Mais s'il vous faut absolument l'agrandir, regardez-le au moins un p'tit coup en taille normale pour voir à quoi ça devrait ressembler. Merci ! Ah oui, encore un conseil : en plein soleil, c'est pas terrible, vous n'y verrez pas grand chose, en ce cas et si possible, revenez plutôt le soir, ce sera beaucoup plus lisible.

Et si vous voulez recommander ce blog (cliquer sur > faire suivre à vos amis) ou me laisser un p'tit mot (en bas > ajouter un commentaire) parfois on vous demande de recopier trois caractères anti-spam, mais si vous n'arrivez pas bien à les lire (ou parfois ça dit qu'ils sont faux !) cliquez sur les flèches pour en changer - et n'oubliez pas après de cliquer sur Envoyer ou publier ce commentaire.
Et autrement vous avez le e-mail en pied de page, mais cela n'apparaîtra donc pas sur le blog - c'est seulement pour les déclarations d'amourrr... ou les timides, c'est vous qui voyez.
Et pour recommander une page en particulier, vous pouvez le faire très facilement avec un clic droit sur son titre juste sous la bannière et choisir envoyer le lien... (sous Firefox - les autres je ne sais pas)  Et merci d'avance !

16 mars 2008  -  16 mars 2009

Un an... un an déjà, et depuis ça a été encore bien pire, bien plus complexe, que ce que je vous disais à l'époque... Depuis j'ai fait quelques retouches d'esthétique, mais surtout de la chirurgie de fond - j'ai trifouillé dans les entrailles, mais vous ne le verrez même pas... Alors pour vous, les fidèles, je vais transbahuter l'ancienne version sur un faux blog pour vous permettre de comparer, juste pour pas entendre vos réflexions : « c'était bien comme c'était », « j'vois pas la différence », « tout ça pour ça ? » etc. Des semaines de nuits blanches dans le cambouis, alors que ça ne se voit même pas ??... C'est taré ?  Peut-être, mais, un : moi je le vois, et deux : c'est quand-même plus beau quand vous regardez sous le capot (le code source). Mais ce qui est encore plus taré, c'est que quand c'est plus propre, les vieux navigateurs gèrent mal et c'est encore plus la cata qu'avant - drôle de dilemme...
Bref, si c'est horrible sur votre écran, pas aligné, lignes coupées etc. c'est la faute à votre écran, votre zoom, ou si vous n'avez pas la même police, taille etc. Et puis sinon c'est dû à votre dinosaure de navigateur, et le plus souvent c'est Microsoft Internet Explorer qui, dans son hégémonie, s'assoit allègrement sur les règles (surtout avant IE7). Je l'ai donc refait sous Firefox, et vérifié sous IE7 : restent quelques problèmes (je voulais les énumérer ici, mais je crois qu'à part moi, tout le monde s'en fiche), problèmes un coup dans l'un, un coup dans l'autre - ou un et trois plutôt : à choisir, préférez donc Firefox - soyez indulgents, je n'ai plus le temps... et si vous trouvez des trucs qui vous semblent pas nets sous d'autres navigateurs, dites-le moi, juste pour que je m'énerve... parce que je n'ai pas les compétences nécessaires pour pallier cela.

Donc, si vous êtes un peu perfectionnistes, ne commencez même pas à caresser l'idée de vouloir faire un site : arrachage de cheveux garanti. Surtout pas... ou alors en connaissance de cause : seulement si vous n'avez vraiment rien d'autre à faire et une bonne mémoire, un esprit de déduction, un peu plus d'intelligence, oui, toutes ces choses qui me font terriblement défaut. Et si vous avez un boulot que vous aimez, vous aurez la frustration de ne pas le faire et puis vous culpabiliserez de ne pas assurer (... au four et au moulin, hein, c'est bien connu...)
Et surtout, surtout, lancez-vous seulement si vous n'avez pas d'amis qui vous veulent du bien, qui veulent que vous fassiez le boulot pour lequel vous êtes fait, et un seul, càd. des bols et des cailloux, parce que vous les ferez désespérer de vous...

Et si vous ne pouvez pas vous en empêcher, étudiez d'abord, parce que réparer c'est encore pire. Vous trouverez quelques adresses de sites d'aide sur ma page de liens. Et procurez-vous d'entrée les outils qui permettent d'y voir quelque chose (et en comprendre un peu plus du coup), alors n'attendez pas comme moi, la fin et le désespoir pour trouver et charger la Web Developer toolbar (pour Firefox) ou l'éditeur Notepad++ (pub, mais c'est pour votre bien, je vous assure, et c'est gratos)

Donc si tout ça vous donne encore envie, je vous mets l'adresse de mon « fournisseur de drogue » : Bren du fat. ... de drogue : je mets de gros guillemets pour pas qu'il ait droit en plus à une descente de police - je dis en plus, parce que, après vous avoir fait découvrir la drogue du CSS, que vous ne causez plus que html et compagnie, parce que donc, quand vous appellerez au secours, il faut, tel un pyromane pompier, qu'il sauve les âmes et les CSS en perdition de ses victimes... (il faut : pas obligé, mais il le fait : à l'heure où je vous écris tout ça, il est en train de suer à grosses gouttes dans les méandres de ma feuille de style, à débusquer mes rustines, me maudissant déjà... alors s'il-vous-plaît, n'en rajoutez pas, ne lui dites surtout pas qui vous envoie !)
Et là, j'apprends en direct qu'il projette sérieusement de s'établir comme « faiseur de blogs », ou de sites, allez, zou ! Pour le coup donc, vrai coup de pub : allez-y, soyez ses premiers clients, il faut l'encourager et vous ne serez pas déçus - en plus de ses talents de Cascadeur de Feuilles de Style (hum, euh, pas pu m'empêcher...), il a du goût et de la culture et de l'humour - pour vous en convaincre, allez faire un tour sur son blog : il ne cause pas que de CSS ! Bon, j'vous laisse, j'ai des bols sur la planche.

La playlist d'enfer qui déchire grave sa raceDes Mots... 

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Pour l'écouter dans une fenêtre popup :  cliquez ici

Messages sur le répondeur de Là-bas si j'y suis émission de Daniel Mermet sur France Inter à 15h

  • Charles Darroman, le 24 janvier 2008  (voir infos)
  • Jeanne Moreau, fin 2008 peut-être, je ne sais pas
  • Un prof d'une école dans le Gers, le 18 nov. 2008
  • Ze Jam Afane, "Marie-France" (Là-bas, 15. 1. 09)

Mots gentils...

Si vous voulez me faire plaisir, laissez-moi donc un p'tit mot !

Je les aime, ils me sautent au cœur, et si je réponds parfois que longtemps après, pardonnez-moi... c'est parce que je ne sais pas faire en cinq minutes

 
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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 23:15
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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 02:36

annoté par mes soins  –  cliquez ici pour lire les notes cacher les notes

Des bols envoûtants

Mais quelle est donc cette sorcière dont les bols ont le pouvoir de faire pleurer d'émotion ? euhhhh ... Intrusion dans l'atelier de Christina Guwang, à la poursuite du fragile processus de création qui en­gendre déceptions ou miracles...
TEXTE DE MARIE-AMAL BIZALION,  PHOTOS DE GILLES LEIMDORFER

Merci à Marie-Amal et à la revue des Ateliers d'Art de m'avoir consa­cré cet article ! Réputée un poil tatillonne, je n'ai pu y jeter un œil avant sa parution. Cachées pour ne pas nuire au texte original, j'ajoute donc ici mes précisions en espérant que la rédaction ne m'en tiendra pas rigueur :)


Ce soir, Christina va défourner. Depuis l'aube, elle entrouvre son vieux four à gaz d'un doigt, de deux, d'une main, de peur qu'un choc thermique ne fasse sauter l'engobe. Après dix-huit heures de cuisson, quand d'autres abrè­gent l'épreuve du feu en huit heures, Christina trouve encore l'énergie de porter une énorme bassine d'eau à Nougat, son cheval à robe Appaloosa, de ren­trer ses poules, de sauver un frelon englué dans un verre d'orangeade. l'énergie… entre-temps il y a quand-même eu trois jours de refroidisse­ment ! Une canicule rare s'est abattue sur la Vienne, mais la frêle céramiste serre son gilet contre son corps glacé qu'elle oublie trop souvent de reposer.

Il lui faut réussir ce four, c'est vital : la semaine prochaine, elle expose à Aubagne où se tient la 10e biennale d'Argilla, grand rendez-vous des arts de la terre. D'autant que, cette année, l'un de ses bols est élu pour illustrer l'affiche. Comme pour les célèbres Journées de la céramique de la place Saint-Sulpice à Paris ou le Festival de la céramique d'Anduze, elle arrivera sur place la veille, passera la nuit (trente heures à St Sulpice…) à peaufiner ses accrochages, à jouer des transparences et de la lumière, bref, à rendre fous les organisateurs. (ils sont trèèès patients !) « Ce sont mes gènes boches qui ressortent, je m'acharne pour atteindre la perfectionje m'acharne pour atteindre la perfection, (je ne supporte pas l'échec). » Les gênes boches, oui, ça rend un peu tatillon, mais je ne pré­tends pas à la perfection, ça n'existe pas, c'est relatif à chacun… on essaie juste de faire du mieux qu'on peut, à un moment donné. Je veux simplement faire quelque chose qui me plaise, et ne serait-ce qu'à ce moment-là…
Quant à ne pas supporter l'échec, ce n'est pas en soi que je ne l'encaisse pas, mais ce sont ses conséquences : faire moche n'étant guère encoura­geant, cela m'entraîne dans une spirale infernale… et à moins d'un chouette accident qui m'ouvre de nouvelles perspectives, il est difficile d'en ressortir !

portrait à atelier

Merci à Gilles Leimdorfer pour ce portrait, et avec ma pomme il a bien du mérite ! (sauf que le téléphone dans la poche fait bizarre… et le bouton sur le pif, je l'ai gommé…)

Née en 1961 à Mannheim de parents allemands, Christina fait ses premiers pas en Guinée, arrive à huit ans au Mali, passe son adolescence à Madagas­car. À dix-huit ans, elle intègre les Arts décoratifs de Nice, puis ceux de Strasbourg dont elle sort diplômée en 1985. Déjà les mains dans la terre, elle y invente son langage : un fol enchevêtrement de signes cunéiformes (je les appelle « curviformes ») correspondant aux vingt-six lettres de notre alphabet. Aujourd'hui encore, il lui arrive de graver des poèmes aussi beaux que simples sur ses « cailloux » de grès poli, laissant aux curieux le soin de les décrypter, aux amoureux celui de les caresser. Ils jalonnent un parcours d'une rare pugnacité, ins­crivant dans l'espace-temps une rage de vivre qui déplace les montagnes.

Car elle en a rencontré, des montagnes sur son chemin. Santé fragile, apprentissages douloureux, isolement, inquiétude d'un milieu peu enclin à « la bohème ». Elle a ravalé sa fierté tournant dans l'ombre de célèbres potiers, a exécuté et décoré des pièces au millimètre pour Suzy Atkins pendant dix ans. Oulalaa, c'est bien dramatique ! Non, chuis pas Cendrillon
Je pense qu'il y a quelques raccourcis… …à rallonger – et vous verrez que les montagnes, en l'occurrence, seraient plutôt celles du Plat Pays… :)

— Santé : non, pas fragile … peut-être un peu fatiguée quand je ne dors pas assez… — apprentissages douloureux : non, juste un peu laborieux pour le tournage — ravalé sa fierté etc… NON, on n'a pas bien dû se comprendre, pardon :
D'avoir été chez Jacky Coville fut au contraire une belle chance et je ne le remercierai jamais assez de m'avoir appris à anser (il en est le maître incontesté) … et il est aussi le père de Martial (mon ex-époux) qui m'a appris à tourner…
De même, Suzy Atkins m'a beaucoup apporté : l'engobe et le décor – et la série est une bonne école – et j'ai découvert le grès de La Borne et ainsi le plaisir de tourner ! Et, last but not least, Suzy et son mari m'ont fait confiance – très vite j'ai pu m'installer ici, tout en tournant pour eux, ce qui m'a permis de mettre au point mon propre travail sans que ce ne soit galère.

Donc merci à eux tous, mais aussi à Brigitte Pénicaud et Claude Varlan qui m'ont souvent pistonné apporté leur soutien… et de tout cœur à ma fa­mille qui m'a tant aidé – alors même que mon père n'ait pas toujours été très heu­reux de mes choix (la vidéo et la "Comm" avaient bien plus d'avenir que la poterie…) – Merci !
Un jour vint le coup de foudre * pour le Limousin (le Centre plutôt), ses collines alanguies, ce bocage aux haies porteuses de vie bourdonnante. Et ce long corps de ferme, son atelier, son écurie, son refuge. (* pour la maison avant tout)

L'heure approche, la porte du four va enfin s'ouvrir grand, mettant un terme aux semaines d'insomnies, de doutes, de crises. Depuis quelques instants, le téléphone sonne sans interruption ; un ami s'enquiert de son moral, une fanatique'fan' annonce sa venue, un commissaire d'exposition (c'est un ami) tâte le terrain. Bon moral ou trente-sixième dessous ? Il est encore trop tôt, la porte entre­bâillée n'a pour l'instant livré que des coups de sang – « Merde, mes rouges sont blancs ! » (finalement ils étaient bien rouges, sauvée !) – et quelques espoirs.

19h30. Christina rassemble ses fiches et son plan de four : cent dix bouts de papier numérotés, autant de bols scrupuleusement annotés, étape par étape. Tout y est consigné : le moindre accident, le nombre de biscuits (en général deux passages à 1000° avant l'ultime cuisson, à 1312° précisément) (douze ?? ~ 1310° au pyro, 1320° ou plus dans le bas, la montre à 1300° est bien fondue) et le croquis détaillé d'enfournement, un casse-tête qui a pris douze heures. Certains bols méritent d'être léchés par la flamme, d'autres doivent s'en écarter. Ceux émaillés émaillés engobés de rouge requièrent une attention extrême tant cette couleur capricieuse peut virer pour un degré de tropun degré de trop. quelques degrés en moins et le rouge restera beige – pire encore pour les blancs, où les places sont comptées car ils ne seront bien blancs qu'au dernier étage et avec un peu de chance ! En principe, en quatre heures le four sera vidé. En principe... Car il faut encore dégager le bric-à-brac qui encombre les quatre tables du long atelier en terre battue coiffé d'un baldaquin de toiles d'araignées. Autour du poêle-tonneau en fonteen fonte en acier, sur les étagères et les fauteuils avachisles fauteuils avachis le transat, s'empilent des centainesdes centaines !! une trentaine… (tu ne serais pas un peu de Marseille ??) :) (hi, hi, elle l'est !) de boîtes de cigarillos (proprement empilées en un petit tas sur la caisse à bois en attendant l'hiver et le feu), des bassines pleines d'eau, de grosses bûches de chêne avec de jolies écritures de vers (euh… d'insectes), un fatras géant de tamis, pots et seaux de plastique, bols au rebut, vêtements, pinceaux, crayons, chiffons... Sur une planchette miraculeu­sement épargnée par le chaos trônent les petites œuvres de ses nièces. Au fond, le tabouret africain sur lequel Christina décore ses pièces, les coudes calés entreentre :) sur ses cuisses. (Et juste le gauche, celui qui tient le bol)

Et pour ce qui est du bor... bazar, c'est bien cela qui me peine… en fait j'ai toujours travaillé dans un atelier bien rangé, si, si !! Petit à petit, depuis que je travaille pour moi, je me suis laissée déborder (« j'ai pas l'temps ») et jusqu'à présent le courage me manquait pour en venir à bout… Mais avec l'aide (et l'insistance surtout !) de mes amis cela va se faire l'éte prochain !!

Son tour de potier, lui, a intégré cet hiver la salle à manger, tant il a fait froid ici. Un tour monté par son père, massif comme un bahut - il n'en faut pas moins pour résister à la pression énorme que les mains fines et musclées de la tourneuse hors pair infligent au grès de La Borne (euh…). Dure comme du bois, étirée à la limite de la rupture, la terre reste d'une solidité sans faille et d'une finesse incomparable. Contrairement aux autres potiers, Chris­tina n'a guère besoin de tournasser pour rectifier le galbe – parfait – de ses pièces. « Les gens ne voient pas le centième de ce que j'ai fait. Je peux m’achar­ner sur un bol pendant trois jours. » Non, c'est un raccourci, je ne "m'acharne" pas sur un bol trois jours durant (et certainement pas au tournage), mais un décor multicolore en réserves successives à la cire peut s'étaler sur trois jours pour une question de séchages intermédiaires.
Ou alors en ce sens que je peux quelquefois passer des heures sur un décor, pour finir par l'effacer et recommencer le lendemain… et si ça ne va toujours pas, ça peut effectivement prendre trois jours !

tas de bols boules à l'enversZébrés, striés ou à damiers, les bols de Christina Guwang relèvent d'une savante alchimie, entre rigueur germanique et exquise fantaisie

Cliquez donc sur l'image pour voir d'autres bols de 2009 !

Un équilibre précaire

20h30. Christina écarte enfin la tenture de laine bariolée qui sépare le four de l'atelier, soulagée. A priori pas de casse ; les blancs sont purs, les noirs d'ébène, les rouges restent cachés par les autres. Mais bien vite la sanction tombe : « Celui-là semble danser, il paraît un peu trop précieux, je n’aime pas son air sournoisje n’aime pas son air sournois. » précieux, oui – sournois, je ne vois pas d'où ça sort…

Le soleil est couché depuis longtemps. Christina soupèse, retourne, écoute chaque bol, le critique d'un ton rauque, enrage pour un détail invisible, tente de relire ses fiches de son propre aveu illisibles, s'excuse en un rire flûté(flûté ?). De ce long monologue on retiendra qu'elle polit chaque pièce à cru pour rentrer les grains de chamotte (au moment du tournassage, extérieur et intérieur) sans en perdre l'aspect pierreux, qu'elle procède souvent par trempage dans l'engobe (que je polis aussi) avant d'y peler stries, volutes ou damiers pour retrouver le grès nu, biscuite et recommence, trace aussi des réserves à la cire, ajoute à la poire des picots d'émail (gouttes ou traînées … d'engobe…), mixe parfois tout ça. Que la longue épreuve du décor la met « au bord du suicide » (cet été seulement, quand rien ne me réussissait – mais comme ce n'est pas mon genre, c'est une façon de parler…). Qu'elle se concentre désormais sur trois couleurs et une seule forme, passe un temps fou à poncer sur cuit pour adoucir la lèvre d'un bol – pas seulement la lèvre, intérieur et extérieur aussi.

Ils ont pour nom Calebasse, Oursin, Zèbre... Sautant du coq à l'âne, elle raconte la femme architecte qui s'effondre en larmes en découvrant ses pièces (archéologue peut-être, et cela m'a seulement été rapporté – devant moi, ils se tiennent bien…), l'homme ignorant tout des arts oh non, tout le contraire ! (le fait est qu'il n'était nullement collectionneur et depuis il en a plein, mais que de moi !) qui lui prend six bols d'un coup (à 150 € pièce) et comme elle se fiche de l'argent, se contentant de 5 000 € par an pour vivre (pas de besoins – et sur­tout pas de télé ! – ça donne la liberté de faire des pièces uniques qui prennent du temps !). Les uns lui prêtent des influences éthiopiennes, les autres une incursion dans le néolithique, le cabalistique (là, j'avoue, j'ai sorti le dico)« Moi qui ne sais même pas d'où me viennent ces motifs *… Un squelette d'oursin offert par ma mère, le chaos des calanques de Piana ? » (* en fait faut pas chercher, des points et des lignes, c'est pas bien sorcier, y en a partout !)

Soudain, une voix de toute petite fille s'esclaffe : « Le miracle, le bol par­fait ! » ça devait plutôt être une grosse voix, et du genre : « ah, ça l'fait ! » – et surtout, je l'ai déjà dit, parfait n'existe pas chez moi, c'est tout relatif… Il est là, sous ses yeux émerveillés. Quelques larmes blanches sur fond d'ébène, rien de plus. Ce petit miracle qui ne lui est arrivé que quatre ou cinq foisquatre ou cinq fois deux, trois fois, qui la tient en haleine depuis des années, pour lequel elle est prête à oublier l'angoisse du four vide. Dehors, le soleil darde ses premiers rayons.

bols sur l'autoDe la réalisation
à la mise en scène de l'exposition, Christina peaufine chaque détail
De la réalisation
à la mise en scène de l'exposition, Christina peaufine chaque détail

Rebuts sur le capot
de la Passat… (et je ne
dis pas merci pour la pub)

Là, c'est un coup vache… d'accord, la vue est origina­le, mais valait-elle de me faire autant de peine ? Et d'y avoir associé cette légende en ajoute à mon désarroi… Des bols ingrats que j'avais justement bannis de l'atelier !! (Vous voyez là ce que ça donne quand les blancs ne le sont pas !)

 

Aparté pour novices : pour les sourires :) et autres clins d'œil ;) il suffit de pencher la tête sur la gauche… j'ai mis un an avant de m'en apercevoir et donc de savoir les lire !!! :D

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Merci à Marie-Amal et à la revue des Ateliers d'Art de m'avoir consa­cré cet article ! Réputée un poil tatillonne, je n'ai pu y jeter un œil avant sa paru­tion. J'ai donc ajouté ici ces quelques précisions (cachées pour ne pas nuire au texte original), en espérant que la rédaction n'en prendra pas ombrage :)

Je suis reconnaissante à Marie-Amal de m'avoir proposée aux Ateliers d'Art pour ce portrait et je lui demande pardon d'avoir ainsi charcuté son texte… Celui-ci n'est pas en cause, elle l'a écrit avec sincérité et les raccourcis ou images d'Épinal sont sûrement inévitables : on n'est peut-être pas tou­jours assez explicite pendant l'entretien, d'autant que celui-ci a été le fruit d'une nuit blanche passée à défourner (elle a été bien courageuse !) …
Je pense qu'une relecture commune avant la rédaction définitive aurait pu per­mettre de revoir certaines inter­prétations que je réfute ici, et je mettrais donc en cause l'absence (faute de moyens ?) d'une telle concer­tation – c'est un prin­cipe qui nous met ainsi sans recours devant le fait accompli…
De même pour le choix des ima­ges, là c'est la catastrophe : à la parution je découvre avec stupeur une photo de mes pièces ratées (légendée bizarrement qui plus est) pour illustrer mon travail – ça fait mal ! Alors pardonnez-moi si cela était ingrat, mais j'avais besoin de m'exprimer… à défaut donc ici pour dix pelés et trois tondus …euh… pour vous, mes chers et fidèles visiteurs. :)

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 22:43

l'atelier & les cailloux Florence Lemonnier & Christina Guwang à Ainay-le-Vieil, 8 et 9 déc. 2007

Au sujet de la fabrication de ce blog...*  à regarder si possible avec Mozilla Firefox (oui, enfin ça y est !) ou Internet Explorer 7 (pas 5 ou 6 par pitié) et une résolution d'écran de 1280 px

Préambule

Si j'avais eu avant de commencer ne serait-ce qu'une vague idée de la technologie informatique, si j'avais su que ces navigateurs, écrans et tout le tralala ont une idée toute relative de la précision et chacun sa sauce en plus... (si j'avais su, en fait je ne savais même pas ce que c'était, ni ce que ça fait, ni les noms... nada, nothing, que dalle... ni même ce qu'était un blog quand on m'a dit mets ça sur un blog, c'est comme un site, mais en facile... ben qu'est-ce que ça doit être, si un blog c'est facile, merci...  fermez la parenthèse)

C'est vous dire comme j'ai pu m'énerver en découvrant tout cela... et la patience et l'obstination qu'il m'a fallues pour faire de mon mieux quand bien même je savais alors l'affaire perdue d'avance. Et aussi apprendre tant bien que mal le « chinois » (pardonnez-moi) je veux dire décortiquer feuilles de style et code source (rien que le temps de comprendre qu'est-ce qui faisait quoi, où, etc. et puis eurêka ! en fait un contenant et du contenu).
D'abord je me disais ce n'est pas pour moi et j'ai perdu beaucoup de temps à ne concocter que des ruses, mais ensuite j'ai trouvé à lire des quantités d'articles fort intéressants, oui, mais dur-dur à assimiler quand on n'a pas de mémoire. Merci à leurs auteurs dont vous trouverez les liens en page annexe.

Donc voilà, si j'avais su tout cela, jamais je ne m'y serais attelée, mais bon, je n'aime pas abandonner en chemin et m'avouer vaincue... ou me contenter, faute d'y arriver comme je voulais - ce n'est pas parce qu'on est bête ou ignorante ou pas rapide et même tout à la fois qu'on devrait laisser tomber...
Mais bon, ça prend du temps quand on part de rien (nada, nothing, que dalle... même le clavier, sans mode d'emploi...), alors voilà un mois passé là-dessus au lieu de faire mes cailloux, les nuits à ne pas dormir, les copains ne comprenant pas comment on peut perdre son temps ainsi, et surtout juste pour un coup - oui, d'habitude je bosse vraiment et je n'aurai plus le temps d'alimenter ce blog.

Bref, tout cela mérite bien que, pour me faire plaisir, vous le regardiez dans les conditions optimales si vous le pouvez, non ? Et sinon sachez que les trucs pas jolis c'est dû au navigateur ou quoi, mais ce n'est pas moi qui ai fait cela comme un sagouin - on a sa fierté, non mais !

Pour ce qui est de perdre son temps, même si je n'ai pas fait mon boulot et même si cela me désole, je pense que c'est juste le moyen qui était différent - moins sensuel mais un je-ne-sais-quoi... plaisir du défi peut-être, un peu prise de tête, d'accord, tout aussi aléatoire finalement que la céramique et pas le plaisir du toucher - mais un moyen en vue d'un résultat graphique, esthétique, appelez cela comme vous voulez.
Je me suis quand-même fait plaisir, alors les copains me gonflez pas... j'ai cessé de culpabiliser le jour où j'ai décidé de vouloir y comprendre quelque chose malgré toutes ces vicissitudes évoquées plus haut et peut-être grâce aux écrits de Bren du fat qui m'ont rendu la chose plus passionnante.
J'ai appris des tas de choses qui ne vont pas me servir, mais voilà, j'aime bien la gratuité... en un monde qui ne la comprend plus guère.

Tout ça pour dire pourquoi vous avez dû l'attendre si longtemps, oui je parle à la poignée de gens qui me tazounaient et pardon aux quelques visiteurs de hasard, pas concernés par mes états d'âme - mais z'aviez qu'à sauter, si vous avez lu jusqu'ici, tant pis - mais alors il faut que je vous dise que j'ai fait ce blog juste pour dire merci à ceux qui sont venus à l'expo et pour ceux qui n'ont pas pu venir, parce qu'on m'a dit qu'il ne fallait pas encombrer les gens avec un gros mail... mais si vous êtes encore là, soyez les bienvenus.

 

Édit - un an plus tard :
Ça y est, vous pouvez voir ce blog sous Firefox (et d'autres je l'espère)
Lire ici : Bricolage de blog : mode d'emploi, suite et fin (j'espère aussi !)

atelier de menuiserie fred bardon entrez sans frapper bienvenue avant la foule le poêle... et le parquet pour danser les cailloux... ...et leurs ombres haches, couteaux, faucilles lune nue fuseaux plaque trois pages cylindre couché

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 01:56
post-scriptum

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La mazurkaDouble-cliquez pour démarrer la vidéo puis mettez-la en pause pour avoir un peu d'avance le temps qu'elle se charge et au bout de 10-15 secondes vous pouvez la relancer - sinon vous risquez des coupures en cours de route et il faut se la farcir une seconde fois pour la voir bien  (pas obligé... je sais...)Durée : 1min30

Problème : en voulant arranger le son, c'est l'image qui ne va plus... donc en attendant de résoudre cela, je vous mets les deux au choix : la première a le bon son et la deuxième la meilleure image - il faudrait donc pouvoir regarder la seconde en en coupant le son et lancer en même temps la première pour avoir le son, mais à moins d'être superman* ce ne sera pas synchrone...1 le son,  2 l'image - pitié, pas l'inverse !

* je suis superwoman : il suffit de couper le son à celle-ci, puis la démarrer et à 2sec la mettre en pause, aller déclencher l'autre et on a juste le temps de redescendre démarrer celle-ci... vérifiez les compteurs, ça marche - ou alors mettez trois secondes !

Bon, ce n'est qu'en attendant ! De toute façon je sais bien qu'à part moi, la mazurka n'intéresse personne... Désolée aussi pour les vertiges ou torticolis que les facéties de mon père risquent de provoquer -  Merci à lui d'avoir eu l'idée de fixer ce bon moment !

Bribes de soirée
Musique de porte
Fin de l'histoire
Fin

Expositions

à venir :

Exposition des Potiers Créateurs de Puisaye et leurs invités
Du 18 juillet au 30 août 2009 au Couvent de Treigny dans l'Yonne

Les membres de l'APCP :
  • Nicole Crestou
  • Isabelle Daucourt
  • Robert Deblander
  • Isabelle Delin
  • Charles-Henri Guiéba
  • Marie-Lucie Trinquand
Leurs invités :
  • Christina Guwang
  • Vincent Kempenaers
  • Rémi Lacombe
  • Elisabeth Le Rétif
  • Cécile Poisson

Vernissage  le samedi 18 juillet  à partir de 17 h  au Couvent
Exposition ouverte tous les jours de 14 h à 19 h. Entrée libre

affiche expo Treigny
... passée
affiche Festival d'Anduze

voir les détails en page expositions

à propos de ce site

Au départ je l'ai fait avec ce qu'il y avait dans la machine (IE7) et je vous disais alors : ... quand j'ai su que personne ne l'aime, je n'allais pas tout recommencer...

un an plus tard...

euh... voilà... je l'ai donc refait pour qu'il soit correct aussi sous Firefox tout en le restant sous Internet Explorer 7, ce qui était bien le plus dur !
(pas réussi pour la ligne 'ajouter un com' sous IE7... ça reste une épine dans mon œil)
Sous IE 6 par contre, ce n'est pas vraiment au point... mais ouf, avec la version  IE 8 ça n'a pas l'air mal... ils se seraient enfin mis aux normes !
Et pour les autres navigateurs je n'ai même pas eu le courage d'aller voir, sinon je n'en sortirai jamais...
Et le gros problème qui reste, est que si vous agrandissez c'est la cata !!

voici un exemple éloquent de mes soucis antérieurs (couleur et décalage) : décalage sous FF- résolu

en voilà un autre, actuel celui-là, si des fois quelqu'un aurait une solution ?
(là, c'est IE qui m'agace énormément...) cliquez pour voir la grande image : exemple de décalage sous IE7

l'ascenseur n'est assorti que sous IE, dommage... voici pour les autres : ascenseur en couleur sous IE

en page annexe
vous trouverez des liens de sites d'aide (CSS & consorts) et différents autres amuse-gueule ou plats de résistance...
pour l'apéro je vous en mets un peu ici en special copinage.

Brendufat : Jus de méninges
faute de temps, j'ai surtout lu dans le pourquoi du comment, tenez, celui-ci est une parfaite illustration de ce que j'ai vécu ces derniers temps, ou encore celui-là  (au titre assez parlant pour ceux qui me connaissent) et par où je suis entrée comme par hasard. Lire aussi les prolongements dans les commentaires, le piège étant qu'ainsi je suis tombée sur Djac Baweur, au blog aussi éclectique que celui qu'on vient enfin de réussir à quitter.

Résistance The Djac Baweur Attitude
lisez par exemple  Typographie  et surtout et il y a aussi plein de causeries musicales et si par malheur vous mettez le nez dans les commentaires, vous n'êtes pas rendus, il faut être au chômage ou insomniaque !!!

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